Le député a souligné que cette déclaration a suscité de nombreuses interrogations parmi les professionnels du secteur, notamment en ce qui concerne les modalités d’attribution des aides et les critères de sélection des bénéficiaires. Il a ainsi exigé des éclaircissements sur le cadre réglementaire en vigueur, le nombre de personnes ou d’entités ayant bénéficié de ces aides, tout en insistant sur le respect des principes de transparence et d’égalité des chances.
Mustapha Ibrahimi a également interrogé la secrétaire d’État sur les objectifs réellement atteints par ce programme d’aides, et sur la conformité des procédures suivies à un cadre légal clair, ou s’il s’agissait, au contraire, d’un usage à des fins électoralistes ou partisanes. Il a exprimé son inquiétude quant à l’instrumentalisation médiatique de cette affaire, sans la présentation d’informations précises justifiant la légitimité de l’aide évoquée.
Il a conclu en appelant à des réponses précises concernant la valeur globale des aides, les entités bénéficiaires et les procédures adoptées pour leur octroi, tout en insistant sur la nécessité de tenir pour responsables ceux qui auraient utilisé les fonds publics à des fins politiques ou électorales étroites.