En raison de la forte hausse des températures, les autorités irakiennes ont décidé de suspendre le travail officiel dans plusieurs provinces, après que des records de chaleur ont été enregistrés, atteignant 52 °C, notamment dans la capitale, Bagdad.
Dix provinces situées dans le centre et le sud de l’Irak ont connu des températures extrêmes variant entre 50 et 52 °C, tandis que dans les régions du nord, les températures ont oscillé entre 44 et 48 °C, selon les données publiées par les services météorologiques.
Cette vague de chaleur est aggravée par une baisse de la production d’électricité, due à l’arrêt des importations de gaz en provenance d’Iran, privant ainsi le pays des ressources nécessaires au fonctionnement de ses centrales électriques.