6ᵉ place pour Hakimi : honte à vous France Football !!!

Ils l’ont osé. Ils ont relégué Achraf Hakimi à une 6e place du Ballon d’Or. Sixième, alors qu’il vient de livrer une saison qui restera dans les annales, une saison où un latéral est devenu le symbole même de l’audace, de l’efficacité et du triomphe. 56 matchs toutes compétitions confondues, 11 buts, 14 passes décisives, et une influence démesurée sur les plus grands rendez-vous. En Ligue des Champions : 17 matchs, 4 buts, 5 assists, dont un but en finale et des éclairs de génie en quarts et en demies. À ce niveau, on ne parle plus d’un simple joueur de couloir, mais d’un acteur central, d’un patron sur le terrain.

Car Hakimi n’a pas seulement joué. Il a décidé. Il a ouvert le score lors de la finale de la Ligue des Champions, il a su être décisif quand les géants tremblaient, il a incarné cette différence entre les bons et les légendaires. Grâce à lui, le Paris Saint-Germain a décroché la première Ligue des Champions de son histoire, avec un retentissant 5-0 face à l’Inter Milan, tout en écrasant la saison nationale : Ligue 1, Coupe de France, Trophée des Champions. Un quadruplé historique, et un Marocain au cœur de cette épopée.

Alors comment justifier cette 6e place ? Quelle logique peut expliquer qu’un joueur clé d’une saison parfaite, un défenseur transformé en attaquant, un latéral devenu meneur d’hommes, soit relégué derrière des profils certes brillants, mais bien moins décisifs ? La vérité est crue : ce Ballon d’Or, sous la plume de France Football, s’est trahi lui-même. Il a abandonné son sens, il s’est laissé dévorer par la politique, par les lobbies médiatiques, par la tyrannie des récits préfabriqués. Le mérite pur, la vérité du terrain, sont sacrifiés sur l’autel du storytelling.

La colère gronde, et elle est légitime. Des millions de supporters, du Maroc à l’Europe, de l’Afrique à l’Asie, crient à l’injustice. Ce Ballon d’Or n’est plus qu’une caricature, une récompense en décalage complet avec la réalité. Hakimi méritait le sommet, pas l’ombre. Honte à France Football, honte à ce prix qui trahit le football qu’il prétend célébrer. Mais qu’ils sachent une chose : les chiffres ne mentent pas, les titres ne s’effacent pas, et l’histoire, la vraie, retiendra Hakimi comme l’un des plus grands artisans de cette saison 2024-2025. Le Ballon d’Or, lui, vient de perdre une partie de son âme !

Total
0
Shares
Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Previous Post

Un hôtel pour chiens à l’intérieur de l’aéroport de Rome : confort pour les voyageurs et bien-être pour les animaux

Next Post

Le Sahel défie La Haye : Burkina, Mali et Niger quittent la CPI

Related Posts